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Invité |  Sujet: Présentation de Anastasia Mars Sam 3 Aoû - 21:19 | |
| Nom et Prénom(s)
Date de naissance et âge : 17 Novembre – 67ans
Tribu : Ours
Situation familiale : Mariée à Iloo Ulloria
Rang dans la tribu: Chef de tribu
Avatar: Frances Fisher
Physique & CaractèreAnastasia est une humaine de taille moyenne, avec le temps sa silhouette musclée s’est affinée et son visage s’est creusé et ridé. Mais il y reste tout de même la beauté troublante de certaines femme d’âge mûrs. Celles à la vue desquelles on se dit qu’elles sont sublimes et terrifiantes à la fois. Ana sourit fréquemment, a les traits doux et détendus, des grands yeux clairs très lumineux variants du bleu au vert. Mais pourtant, quand on la voit arriver, on se dit qu’elle a quelque-chose qui glace le sang.
Comme tous les meneurs sa forme animale est un peu plus grande qu’un ours normal, elle a le pelage brun sombre avec un sous poil roux flamboyant. (Evidement elle est de plus en plus grisonnante, mais ceci est dit tout petit et entre parenthèse car une mandale d’ours, ça fait mal.)
Pour le mental,
Non elle n’a pas souffert dès le départ : elle a toujours connu une mère, son père a toujours pris soin d’elle, n’a jamais vraiment souffert de la famine ou de la terreur. Il n’y a pas en elle la violence et la rage de ceux qui sont nés dans le besoin. Non, elle est franche, bienveillante, rapide, calculatrice. Elle sait prendre des décisions rapides qui font généralement partie des moins pires possible. Elle aime que justice soit faite, prend en compte toute circonstance atténuante. Il pourtant déconseiller de commettre un crime dans sa tribu. En 47 ans de règne, elle à « choppé » dix-sept criminels. Une grâce, aucun banissement, seize executions.
Elle apprécie toutes les autres tribus animales, et les soutiendra toujours. Plus personnellement, elle aime se promener, aller dans les écoles, rencontrer d’autre animaux, surveiller. Par contre en vieillissant, elle a acquis une folle capacité à s’endormir dans n’importe quelle position, même à moitié en équilibre ou debout adossée a quelque-chose. Donc lorsque vous la voyez de loin, au sommet d’un rocher, assisse, avec un air de guetter l’horizon, prévenez avant de débarquer. (Sinon mandale). Pareillement, son ouie et sa vue ne baisse pas avec le temps, c’est que le brouillard est tombé sur le pays depuis que les humains ont trahis et que les jeunes articulent de plus en plus mal. (Vous n'êtes pas d’accord ? Vous le serez.) Vous avez comprit, on ne lutte pas contre cette vieille ourse, on la suit ou on courre.
Réponse ici Histoire
Si tu veux vraiment que je te raconte ma vie nous ne serons pas couchés avant des jours, dis pas n’importe quoi.
Mon meilleur souvenir alors ? ça c’est envisageable. C’est le pire aussi, le plus dur, ce sont les mois ou j’ai grandi. Parce que oui, on grandit comme ça d’un coup ! Paf ! Ce sont les mois qui ont décidé de ma vie :
DANS LE HALL DU ROI DE LA MONTAGNE
Mon père était un ours du nom d’Ottem, ma mère se nommait Flore mais elle est morte très peu de temps après ma naissance. C’est une autre femelle humain, originaire de la tribu des cerfs celle-ci, qui m’a élevée avec Sybelius, mon frère jumeau.
Quand nous eûmes dix-huit ans mon frère et moi, mon père nous convoqua dans le grand hall de la troisième montagne, la plus haute si tu les regardes toutes. Il voulait nous annoncer qu’il nous laissait sa place de meneur. A une condition, être des vrais ours. A l’époque, c’était une chose stupide à mes yeux : Nous étions des vrais ours. Il nous était physiquement impossible de nous transformer comme lui mais nous avions tout des ours.
« Vous aurez trois épreuves à accomplir, dont seul un ours serait capable - avait-il annoncé : La première sera d’affronter les vents, des brûlantes rafales du Sud jusqu’au mortel froid du Nord. Ensuite, vous devrez traverser le bras de mer qui traverse le territoire des loups, et une fois là-bas, loin de tout il vous restera à affronter et terrasser la terrible solitude."
LES VENTS, DU DESERT A LA BANQUISE
LE TERRITOIRE DES AIGLES
C’est lorsque nous arrivâmes à la limite des capacités de nos chevaux que nous nous séparèrent, nous relâchâmes nos deux juments blanches tachetées de noir. Elles étaient libres de retourner sur le territoire de la tribu des ours désormais, où elles seraient traitées en animaux libres, ou bien de partir dans les grandes vallées sauvages. Mon frère descendit directement vers le territoire des lions tandis que j’escaladai une haute montagne dans l’espoir de voir un village de lions. J’aperçu ce qui ressemblait à quelque-chose, relevait des points de repère et descendis à mon tour.
LE TERRITOIRE DES LIONS
Lày-bas je rencontrai le roi des lion au bord d’une oasis. Il m’a dit se nommer Andrian Kamshay. Je lui racontai ce que m’avais dit mon père et il sembla amusé que je prenne le temps de lui parler alors que mon frère était partit droit devant et arriverait bien plus vite que moi. Je lui répondi que je ne pensais pas que c’était le but du voyage que de retrouver la solitude dès le début et ça le fit bien rire. De toute façon je n’avais pas de carte intégrée dans le système comme mon frère, je ne savais pas comment y aller de l’autre côté du monde. En plus, je ne connaissais pas les coutumes des régions où je me rendais, il fallait bien que je les demandes à quelqu’un, il n’était pas digne d’un héritier de chef d’offenser les peuples chez qui on passait.
Je me souviens du regard du vieux roi, brillant, presque heureux. Avec cette touchante lueur dans yeux, il m’annonça qu’il avait un cadeau digne d’une future reine et ôta de son sublime plastron de pierres. L’une noire, L’autre blanche. Du nom d’Ourim et Toumim. La sombre voulait dire oui et la pâle non, je n’aurai cas les consulter lorsque j’aurai un doute sur ce que je devais faire. Sur le coup j’ai cru qu’il me testait : les pierres ne peuvent pas parler, elles n’ont ni conscience ni mémoire.
LE TERRITOIRE DES SERPENTS
Les serpents n’aiment pas les vibrations sur le sol. Pour traverser leur territoire en paix il ne faut pas faire de bruit en marchant. Je ne suis point né dans le désert j’en était incapable. Ce fut un des soldats d’Andrian qui me fit traverser ce territoire sur son dos.
LE TERRITOIRE DES CERFS
Je me souviens avoir hésité en arrivant à cette frontière. J’avais le choix entre suivre mon chemin tout droit et rejoindre rapidement le Nord. J’aurai été la proie des vents deux semaines de plus mais j’aurai pu arriver plus vite à la mer. Mon autre possibilité était d’aller dans la magnifique et verdoyante foret. Détour inutile, mais si tentant, et je pourrais revoir ma mère adoptive. Par jeu, je tirai une des deux pierres de ma poche, « oui ».
Je la rangeai en me disant que c’était stupide, les pierres ne parlaient pas. Et là ! Un hurlement, strident quelques secondes plus tard le fracas d’une paroi rocheuse qui s’effondre, je me précipitai dans la forêt.
De jeunes cerfs s’étaient fait assaillir et leur bagarre avait provoqué un éboulement. Deux d’entre eux dessous. Habituée à ce genre d’accident, j’expliquai par signe comment les dégager et fit ainsi la rencontre du jeune prince cerf.
Invitée à passer la nuit chez lui je les questionnai de la route à prendre pour rejoindre le bras de mer qui coule au Nord. J’appris que les mâles de la tribu passaient l’hiver là-bas. Le prince me proposa de les y accompagner durant quelques jours.
C’est au milieu de la horde alliée que je luttai alors contre le vent du Nord trois jours et trois nuit durant. Je cru que le froid allait me prendre.
LE BRAS DE MER
Au matin du quatrième jour, nous longeâmes le bras de mer. Imaginez de regarder à vos pieds et de voir, 10 mètre plus bas, un immense torrent glacial, long très long et large d’au moins trente mètre. Profondément enfoncé dans la roche, dans un cayon de comme je le disais, une dizaine de mètre de profondeur, il hurlait comme dix mille âme de morts. Refoulant et tourbillonnait ses vagues glacées, on voyait parfois des débris explosés. Avec grand fracas l’écume de ses vagues giclait contre les paroi et s’élevait jusqu’à nous en gerbe d’écumes.
Je crois bien que c’est seulement que parce que mes compagnons m’ont dit d’abandonner que j’ai désescaladé la paroi du cayon jusqu’à la surface de l’eau et que j’ai plongé.
Ne faites jamais cela.
Incapable de nager et submergée j’ai dévalé le courant, le creux de ma main à tappé dans quelque chose, un miracle et l’instinct m’a permis de serrer un peu les doigts puis de m’agripper. Je pu enfin sortir la tête de l’eau, j’étais accrochée a une roche. En regardant bien je vis qu’il y avait des bosses sous la surface de l’eau, des aspérités du canyon. Lentement j’ai tendu le bras, infiniment lentement j’ai glissé le long de cette aspérité rocheuse. Ne sentant plus rien ne pensant à peine j’arrivais de l’autre côté du bras de mer. Sauf que voilà, il m’était physiquement impossible de faire un mouvement de plus, de me sortir de l’eau de réescalader la paroi.
Je me suis mise à pleurer. Je me souviens encore, dans cette souffrance frigorifiée, de la chaleur de mes larmes. Je me suis accrochée à ce sentiment, me disant que c’était bien le dernier que j’aurai et sans même lever la tête vers le sommet du canyon pour entre apercevoir le ciel ; je me suis recroquevillée sur ma prise. Je n’avais plus froid, mon corps s’était bloqué dans quelque-chose ou alors mes bras étaient trop gelées pour lâcher, enfin mais me tenir ne me faisant plus mal. Puis soudain je n’ai plus sentit le courant, plus rien de douloureux, qu’une tendre chaleur.
LE TERRITOIRE DES LOUPS
Il faisait très chaud lorsque j’ai ouvert les yeux et j’ai vu des flammes. Tétanisée je regardais partout. Non ce n’était ni l’enfer ni un incendie de forêt. Je n’étais pas chez moi et toujours vivante. J’étais parfaitement sèche, mes vêtements avaient été changées : ils étaient devenus blanc en peau fine argentée et en fourrure un peu plus épaisse blanche. J’avais aussi quelque-chose sur les mains, comme pour les mitaines de tir à l’arc mais qui recouvrait les doigts également. Pour que le froid ne rentre pas je pense.
Lorsque j’ai essayé de me lever je me suis rendue compte que mes cotes étaient cassées, et j’avais terriblement mal à l’épaule, comme la fois où je me l’ étais déboitée et remboiter. J’avais beaucoup saigné des bras. Je me rendormi.
Et je me réveillai en comprenant enfin où j’étais : chez les loups. Ils m’avaient sortie de l’eau et soignée. Pour me sortir il avaient dû me tirer par les bras de toutes leurs force. En regardant bien dans l’igloo où j’étais je m’aperçu qu’il y avait de quoi faire du feu, Ourim et Toumim, un filet de pêche, un harpon, dix poissons et des boites, sans doute de tissus pour changer de bandage.
Je passai trois jours à dormir me forçant à manger. Au bout d’une semaine je pu me relever, mes cotes n’étaient que félées. Personne n’était venu me voir, en sortant de ma cachette, je vis que mon igloo totalement isolé.
Je pu pêcher un peu.
Après un mois je pu enfin me déplacer quasiment normalement, pris ce que les loups m’avaient laissé et parti vers le Nord, à la rencontre de la solitude
LA SOLITUDE
Pendant des mois je suis restée seule totalement seule. Peu à peu je me suis habituée à la banquise, en fait malgré mon ennui j’aimais bien ce blanc infini. Je passais des heures à fixer le désert de glace. Des semaines après encore, il me semblait que parfois je voyais bouger, des fois j’entendais des chuchotements même une fois il me semble avoir entendu aboyer.
Et puis un jour j’étais sure qu’il y avait quelque-chose face a alors j’ai marché tout droit, plein nord, toujours le nord ! Et puis ça à vraiment bouger le blanc s’est déformé et un ours est arrivé face à moi, j’ai couru vers lui. Il m’a fixé et s’est dressé sur ses pattes arrière. Je me suis senti lourde à cet instant, je vacillai, trébuchai, j’avançai lentement et finalement mes yeux perdus dans les siens, mes yeux qui n’avaient rien vus depuis treize moi, j’ai posé mes mains sur l’avant de ses pattes. Elles étaient chaude malgré la neige.
« Comment t’appelle-tu ? » lui ai-je demandé
« Iloo » répondit l’animal avec douceur. Il m’avait comprise. Hallucinée je le fixai, un ours polaire venais de me répondre. Au sein des ours, les ours et les humains se comprennent par signes par intonations, reconnaissent quelques mots ou grognements. Mais nous ne discutons pas.
« Et toi ? » Dit-il en baissant les yeux puis les relevant, je suivis son regard et fit un bond en arrière. J’ étais un ours. Un vrai ! J’avais gagné ! Je faisais deux mètres, mon pelage était sombre et épais, mes pattes puissantes. J’avais vaincu les vents, la marée, et après des mois j’avais terrassé la solitude. Une fois encore je senti les larmes monter.
« Ne pleures pas ! Ne pleures pas, je sais qui tu es ! Tu es la princesse de la horde des ours brun de l’Est.
-Je suis si heureuse de voir enfin quelqu’un.
- Mais j’ai toujours été là. Nous avons tous toujours été là. Je levai vivement les yeux, il y avait un ou deux autres ours, qui pêchaient à une cinquantaine de mètre, j’entendis hurler des loups un peu plus au sud, un lapin polaire passa en trombe poursuivit par un ourson.
« Il fallait juste que tu apprennes à regarder » me dit Iloo en baissant le nez vers moi.
J’aquiesçai, comprenant ce qu’il voulait dire puis finit par articuler :
« Maintenant je suis chef du clan des ours.
_ Je m’en doute.
_ Il faut que j’y retourne… »
Il sourit il savait ce que je voulais, mais attendis que je lui dise.
« Est-ce que tu voudrais venir avec moi ?
- Oui.
- Tu seras roi, tu pourras assumer ce rôle ?
- Je suis Iloo Ulloria, Ulloria chez nous désigne la lueur de l’Etoile polaire. Ma mère brille toutes les nuits pour guider tous les animaux. Un petit groupe à guider ne devrait pas être bien difficile. »
LE TERRITOIRE DES OURS
Je suis revenue avec Iloo dans la tribu des Ours où nous nous sommes mariés. Mon père a honoré sa promesse et m'a laissée diriger notre clan.
Références : Trois épreuves inspirées du dessin animé « L’enfant qui voulait être un ours », épreuves données par le personnage de l’esprit de la montagne.
Dans le hall du roi de la montagne est une musique du film M le Maudit
Iloo est un dérivé du mot inuit signifiant accompagner.
La légende des rois offrant Ourim et Toumim m’a été apprise par le livre « l’Alchimiste » de Paulo Coelho.
Réponse ici Prénom / Pseudo: Ana? Fin jvous laisse choisir :D
Âge Réel : 18ans
Comment as-tu connu le forum ? : Hunger Games
Code du règlement :
Autre chose ? Juste Electre je ne peux paas mettre l'avatr que tu m'as fais, ma clef 3G n'arrive pas a le charger! :
 Codage by Cacao sur Libre Graph
Dernière édition par Anastasia Mars le Ven 9 Aoû - 16:41, édité 2 fois |
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Soan Kamshay
♔ Chef de Tribu
*** | | Sujet: Re: Présentation de Anastasia Mars Ven 9 Aoû - 18:25 | |
| Bienvenue parmi nous !
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En espérant que tu passeras de bons moment sur notre forum !
Maintenant, tu peux: Réserver ton avatar - Créer ta fiche de liens - Créer ta fiche de rp »Bienvenue sur WH ! Puisses-tu t'amuser parmi nous ! Je n'ai pas grand chose à redire, ta fiche est très bien, même si je dois t'avouer que je n'ai pas lu toute l'histoire x) Mais je vais m'y mettre quand j'aurais le courage, et je suis sûr qu'elle est très bien ! En plus, ça fait plaisir de voir un Chef âgé (: Bref, je te met ta jolie couleur, ton rang, et te voilà toute puissante *-*
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